lunes, 27 de enero de 2014

IVG: La majorité des 200.000 femmes qui y ont recours n’avortent pas par confort mais par peur pour l’avenir de l’enfant.


Le « droit » à l’IVG, prétexte à 
une nouvelle entaille dans nos libertés…



Lorsque l’on milite de toutes ses forces pour une cause humanitaire, celle des droits des femmes et des enfants dans mon cas, il est exaspérant de voir ses revendications être récupérées et retournées contre les personnes censées être défendues.

Il faut arrêter de se ficher du monde : quand on vit dans un pays où trouver une place en crèche est un parcours du combattant, où la résidence alternée peut être imposée à la mère même en cas de violences du père, où le projet de loi actuellement débattu prévoit de punir de prison les mères accusées de« manipulations afin de dégrader le lien familial », que l’on ne vienne pas nous dire que les droits des femmes, des mères, sont une préoccupation sérieuse des politiques.

Les femmes sont maintenues par ces mesures dans une situation de stress intense, où enfanter représente pour nombre d’entre elles une prise de risque considérable pour elles et pour l’enfant à naître. Non, la majorité des 200.000 femmes qui y ont recours n’avortent pas par confort mais par peur pour l’avenir de l’enfant, par peur de ne pouvoir le protéger. Où est leur droit de ne pas avorter ?

La vraie préoccupation des politiques depuis des décennies est de remplacer la main-d’œuvre européenne et ses jeunes trop choyés et trop chers par les rejetons d’une nouvelle traite des miséreux. Pour cela, il faut que les femmes européennes ne se sentent plus avoir le droit de ne pas avorter.

Ont-elles des états d’âme ? Commencent-elles à se poser des questions devant le rapprochement terrible des chiffres. Chaque année, 200.000 entrées d’exilés en France, à qui l’on juge urgentissime de construire des mosquées alors qu’il n’y pas assez de crèches, et 200.000 IVG : 200.000 bébés en cours que notre pays serait trop pauvre pour prendre en charge, interdits de séjour, flingués à la frontière ? Madame, soyez raisonnable : vous ne pouvez pas le garder, et ce ne sont que des règles un peu abondantes…

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