jueves, 16 de enero de 2014

“Aujourd'hui, à l'exception d'Istanboul, il n'y a plus de minorités religieuses en Turquie” Turgut Ozal, La Croix, le 23 avril 1986


Le martyre oublié des chrétiens chaldéens. 
Etre catholique en Turquie...
 





Être catholique en Turquie lorsque l'on parle la langue du Christ c'est être mort ou exilé. Sans haine, dans la plus parfaite fidélité au Christ, car tel est l'honneur de ce peuple. Ou converti de la plus libre des manières à la célèbre RATP pour religion d'amour de tolérance et de paix du beau modèle Mohammed, ou du moins dans sa version SRI (service des relations avec l'islam de la Conférence épiscopale française) qui ignore jusqu'au début de commencement de critique vis à vis de cette “structure englobante”.

L'héritage tout d'abord. Et pour cela quelques définitions :

Assyro-chaldéen : communauté de gens originaires de l'ancienne Mésopotamie vivant en Irak, en Turquie, en Syrie et au Liban ainsi qu'en Europe aux Etats-Unis et en Australie. Se réfère à une population globale sans connotation religieuse.

Chaldéen : habitant de Sumer puis de Babylonie (sud de l'Irak actuel). En fait cela concerne la partie catholique des Assyro-Chaldéens devenue telle depuis 1553.

L'étude porte sur les villages chrétiens du Hakkari en Anatolie centrale non loin de l'Irak.

Une tradition antique et vénérable prétend que saint Pierre lui même aurait rédigé sa première épître depuis Babylone. Du coté des certitudes historiques avérées il y a la fondation de cette Eglise par saint Thomas lui-même puis par l'apôtre Addai plus connu sous le nom de Thaddée en Occident. Bref, une Eglise qui n'a rien à nous envier en matiére d'ancienneté.

Mais ces populations sont surtout connues pour être les héritières des plus anciennes civilisations humaines. Si tout commence à Sumer selon Samuel Noah Kramer, alors nos chaldéens sont les héritiers des plus vielles civilisations humaines et n'ont rien à envier du tout ni à la civilisaiton islamique arrivée bien après ni à personne d'ailleurs.

Au sujet de notre dette vis à vis de cette soi disante civilisation exemplaire, de nombreux ouvrages ont réglé cette question de façon définitive, en l'état actuel de nos connaissances. Pour cela, ces ouvrages ont été définitivement enterrés par la faculté comme par les médias. On pense bien sur à l'ouvrage de Sylvain Guggenheim “Aristote au Mont saint Michel”, mais aussi à Jacques Heers et encore Guy Rachet malgré son anti monothéisme ardent: “Les racines de notre Europe sont elles chrétiennes et musulmanes ? ” et enfin Bat Ye'or “Les chrétiens d'Orient entre jihad et dhimmitude”.

Avec ces quelques références, on est sûr de ne pas se tromper...

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Lire la suite ici: Source: lesalonbeige.blogs.com

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