martes, 27 de agosto de 2013

L’Occident peut bien se boucher les yeux, toute cette histoire se perpétue, et on n’en voit pas le bout.

Islam et démocratie : 
toujours pas plus miscibles que l’huile et l’eau.

par Howard Kainz

cruv


L’an dernier je citais les arguments d’ex-musulmans, telle Nonie Darwish, déclarant que la démocratie au sens occidental du terme est impossible dans les pays musulmans parce que la loi islamique de la charia doit prévaloir sur toutes les autres lois. « Coups d’État » [en français dans le texte] et dictatures peuvent apporter un répit, mais demeure un sentiment de rejet chez les musulmans traditionnels envers les dirigeants laïques comme par exemple en Turquie avec Kemal Ata Turk, en Égypte avec Hosni Moubarak, en Tunisie avec Ben Ali, ou en Libye avec Khadafi.

On peut trouver une lointaine analogie entre la primauté islamique de la charia et le christianisme, commençant par la réponse de Pierre aux autorités lui enjoignant de cesser la prédication sur le Christ : « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. » (Ac, 5:29). On trouve ce thème tout au long de l’histoire du christianisme — refus des chrétiens d’adorer les dieux païens ; mise à mort de chrétiens refusant de prononcer la formule « Il n’y a qu’Allah, Mahomet est son prophète. » ; chrétiens pacifistes refusant d’aller à la guerre et, de nos jours, divers organismes chrétiens résistant aux contraintes du ministère de la Santé d’Obama à propos de contraception, stérilisation et avortement..

De même, « appliquer la charia » pour les musulmans pratiquants implique « obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes ». Mais la signification en est toute différente, ignorant les normes qui se sont établies dans la civilisation chrétienne occidentale à propos de l’esclavage, des droits de la femme et de l’enfant, de la liberté de religion. La charia, quand les musulmans sont au pouvoir, exige la soumission des juifs, chrétiens et autres "non-croyants" ; un droit à l’esclavage sexuel et au mariage forcé de fillettes ; un statut d’infériorité pour les incroyants et pour les femmes (y-compris musulmanes) ; l’illégalité des églises chrétiennes et des symboles chrétiens tels que les crucifix ; la mise hors la loi et l’éventuelle mise à mort de musulmans apostats, ou simplement proférant des critiques sur l’islam ou Mahomet.

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