jueves, 15 de agosto de 2013

L’histoire nous dit qu’il y a une corrélation positive entre le bien-être économique et la réduction de l’ingérence des gouvernements.

Hyper-classe mondiale : 
le cartel de la fausse monnaie !


Il y a, me semble-t-il, une grave contradiction à critiquer (à juste titre) un système financier qui permet à une super-classe mondiale de s’enrichir en spéculant avec de l’argent emprunté à taux zéro, aux dépens des entrepreneurs et de la santé de l’économie réelle, tout en acceptant de poursuivre dans la voie de la monnaie de papier, administrée par des banques centrales sans légitimité (en commençant par la Fed américaine), inondant le monde de fausse monnaie, noyant ainsi toute velléité de reprise économique sérieuse.

Je le dis tout net à mes amis « de droite », comme à mes compagnons « libéraux » : vous ne pouvez pas à la fois souhaiter le retour à la souveraineté d’une banque centrale, fût-elle « de France », prôner des taux d’intérêt encore plus bas (et même nuls pour les emprunts de l’État…), et prétendre, dans le même temps, vous opposer à l’hyper-capitalisme. Car celui-ci, arnaqueur et destructeur, s’alimente précisément aux sources des institutions que vous voulez soit maintenir, soit rétablir !

Pour que vous changiez d’avis, et proposiez une politique économique nouvelle, de nature à créer les conditions d’une croissance durable et pacifique, il faut et il suffit que vous acceptiez une loi naturelle, qui est moins d’ordre économique que général : l’histoire, juge suprême, nous dicte ce qu’il convient de faire.

Qui ne voit que la gestion de la monnaie est au coeur de l’explication de la situation économique et sociale actuelle ? Qu’elle est responsable de cette incroyable contradiction qui fait que nous assistons, depuis un siècle, à la fois à une explosion de tous les progrès techniques et, en même temps, à une langueur qui va s’accroissant s’agissant de la production de biens et de services ?

Il est temps de faire le bilan de l’élimination de la monnaie métallique par la monnaie fiduciaire.

À l’actif de ce « coup d’États », si l’on peut dire : le financement d’un siècle de guerres ; le quadruplement du poids de l’État-providence. Au passif : la situation dans laquelle nous sommes présentement…

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