lunes, 12 de agosto de 2013

Le « progrès » prôné est un long cri de révolte métaphysique contre Dieu, qui remonte à l’aube des temps.

Le « progrès » de gauche : un vieux cri de révolte métaphysique contre Dieu et la famille


Quand va-t-on réfléchir enfin sur la notion de progrès ? Sur quel critère objectif peut-on affirmer que ceci est un progrès, ou encore que ceci est rétrograde ? Au vu de ce que la société nous vend comme progrès – mariage homosexuel, culture gay, théorie du genre, sexualité débridée, transexualisme, la question se pose plus que jamais. Le « progrès » prôné est un long cri de révolte métaphysique contre Dieu, qui remonte à l’aube des temps. Nous cueillons aujourd’hui, peu à peu, les amers fruits de leur victoire.

On lit chez nos amis de Nouvelles de France ces propos de Laure Pora, un homme qui se prend pour une femme, qui est président d’Act Up-Paris et militant du NPA, qui a déclaré, en toute sincérité :
  • « le couple est une institution à détruire dans une perspective féministe »
  • « la misandrie, comme l’hétérophobie, est une stratégie de résistance ».
  • « Je suis féministe, ça consiste à critiquer d’abord les mecs zétéros cis qui ont le pouvoir, et seulement après les femmes pas assez intelligentes pour se libérer ».
  • « Je suis une folle, je pratique une sexualité que je qualifie de pédée, et je regarde pas mal de ‘porno gay’ »
Nous vous avons déjà parlé de la logique globale de société ou d’a-civilisation dans laquelle nous enferme le « progressisme » à propos d’un article sur la famille et le marxisme. On trouve en effet, chez Marx, une fois de plus, ses racines philosophiques les plus profondes. Dans éditorial de The Guardian du 23 juin 2012, le Parti communiste australien entend peser sur le débat concernant le mariage des homosexuels.

Il rappelle alors ces phrases de Marx dans le manifeste du parti communiste (1847) :
  • « Il faut abolir la famille…Et remplacer l’éducation à la maison par celle de la société ».
  • « Les marxistes doivent partir à l’assaut de cette institution ».
  • « Il faut légaliser ouvertement les communautés de femmes ».

Cette volonté de déconstruire la famille est en fait une très vieille idée, qui remonte à l’aube des temps idéologiques ; elle consiste à récupérer les enfants le plus tôt possible et de les confier à la société pour supprimer dès la racine toute liberté individuelle.

C’est par exemple l’idée de Platon (République, 460b) :
  • « Les enfants, dès leur naissance, seront remis entre les mains de personnes chargées d’en prendre soin»

Notre cher Ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon, œuvre exactement dans cette direction, et il ne le cache même pas, lorsqu’il affirme par exemple que :
  • « L’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. » (Jdd, 2005)




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