jueves, 21 de marzo de 2013

« Montre-moi qui te pleure, je saurai qui tu es. »

Les traces que laissera Hugo Chavez



La mort d’un homme n’est jamais l’occasion de se réjouir, car il s’agit toujours d’une tragédie. Même lorsque l’homme en question était immonde. Sté­phane Hessel n’était pas un homme très honorable, je l’ai dit. Je n’ai pas pour autant craché sur son cadavre.

Je n’ai aucune envie de cracher sur le cadavre d’Hugo Chavez non plus, quand bien même c’était un homme encore moins honorable que Stéphane Hessel.

Il est cependant impératif de dire ce qui doit l’être.

Que des dirigeants politiques européens aient cru bon de devoir rendre hommage à Hugo Chavez a révélé ce qu’ils étaient.

Que des journalistes aient édulcoré le bilan des années Chavez, voire aient chanté les louanges de ce bilan, a montré qu’ils avaient quitté le rôle d’informateurs pour endosser le rôle de désinformateurs – ce qui, pour un certain nombre d’entre eux, n’a été qu’une confirmation de ce qu’on savait déjà.

Comme l’a écrit l’un de mes amis : « Montre-moi qui te pleure, je saurai qui tu es. »

Hugo Chavez a été pleuré en priorité par les pires tyrans du monde contemporain, de Kim Jong Un à Bachar Al Assad, et de Mahmoud Ahmadinejad aux dirigeants du Parti communiste chinois.

Il a été pleuré, bien sûr, par les frères Castro, et par les dirigeants latino-américains qui sont arrivés au pouvoir avec son appui, Rafael Correa, de l’Équateur, Evo Morales, de la Bolivie, Daniel Ortega du Nicaragua.

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