sábado, 26 de enero de 2013

On comprend pourquoi Milton Friedman disait qu'il était pour n'importe quelle baisse ou suppression d’impôt quel que soit le motif.

Déficit : 
le problème vient des dépenses publiques, pas des impôts

Par le Parisien Libéral


Le dérapage du déficit public provient de dépenses publiques incontrôlées, et non des recettes fiscales, puisque celles-ci sont déjà en hausse et non en baisse.

Débat très intéressant mercredi soir chez Fabrice Lundy dans son émission "les décodeurs de l'éco", sur BFM Business. Le sujet était "comment mieux taxer Google et Amazon ?". En effet, 50 milliards de dollars de chiffre d'affaires et 10 milliards de profits, forcément, cela attire le fisc...

Il parait que nous sommes en crise et que, du coup, tout le monde doit contribuer. En crise, vraiment ? Quand on écoute le PS et la presse socialiste, on peut en effet penser que "des rentrées fiscales échappent à la France". Vous savez, le fameux "manque à gagner". Simplement, que disent les chiffres de l'INSEE ?

Les recettes fiscales nettes étaient de 254,7 milliards d'euros en 2010 et de 254,4 milliards d'euros en 2011 (source INSEE), soit une baisse quasi nulle (-0.1%). Pour 2012, ça sera 274 milliards (source Performance Publique). Même le si peu politisé SNUI SUD est obligé d'indiquer, dans son bilan du quinquennat Sarkozy, que les recettes fiscales étaient de 253,9 en 2007 et qu'elles seront de 274 cette année.

Autrement dit, alors que c'est la crise, les ressources que l’État a su dégager par la force ont été en progression. Pourquoi les déficits, alors, direz vous ? À cause de la dépense, bien sûr.

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Lire ici: www.contrepoints.org

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