Source: Le Salon Beige
Avec un brin de nostalgie sur son enfance, l’auteur restitue cette ambiance paysanne et villageoise dans le sud ouest de France. une vie faite de rites et de coutumes, rythmes par les fêtes religieuses auxquelles presque personne ne dérogeait. En ce temps de Noël, cette lecture prend toute sa saveur.
Le texte se lit agréablement. Pendant que d’autres attendent la fin hypothétique du monde, Alain Paraillous nous fait revivre cette civilisation des campagnes en voie d’extinction. Avec ses valeurs qu’on aurait tort de toutes jeter sur l’autel de la modernité… Et c’est un geek qui vous parle !
Ce qu’en dit l’éditeur :
En quelques décennies a disparu une civilisation rurale dont les coutumes étaient parfois plus que millénaires. Particulièrement celles qui avaient trait à la religion, demeurée plus longtemps vivace à la campagne.
Certaines de ces coutumes, aujourd’hui oubliées, revivent ici grâce à la plume d’Alain Paraillous : il nous raconte les fêtes qui rythmaient la vie campagnarde, les premières communions, Noël, la bénédiction des Rameaux, les Rogations, la prière du soir, la fête de la Saint-Jean, les chants, l’harmonium, la décoration des églises… mais aussi les vertus paysannes, faites d’hospitalité et de frugalité, de bon sens et de respect de la nature…
C’est une évocation très vivante, liée à ses souvenirs de petit campagnard dans les années cinquante, qu’Alain Paraillous nous propose ici avec sa verve habituelle.
Alain PARAILLOUS Professeur de lettres, issu d’une longue lignée de vignerons, Alain Paraillous est resté viscéralement attaché à sa Gascogne qu’il a célébrée dans plusieurs romans du terroir : Le Chemin des cablacères, L’Encre et la sève, Demain viendra l’aurore…
Lire ici: patrimoine.blog.pelerin.info
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