sábado, 19 de mayo de 2012

Les grands thèmes de la « contre-culture » dans le combat politique afin de faire plier le pouvoir en place


De la contre-culture à la subversion trotskiste


À la fin des années soixante s’est développé aux États-Unis un mouvement de contestation, auquel le sociologue Théodore Roszak a donné, en 1969, le nom de « contre-culture », fondée sur une opposition délibérée à la culture dominante.
La critique de tout système politique est porteuse de dynamisme. Ce fut le cas de la « contre-culture » dont les effets devaient se propager dans l’ensemble du monde occidental à partir des années 1970 : le courant antipsychiatrique a ouvert la voie à de nouvelles thérapies ; la « révolution sexuelle » a accentué l’émancipation des femmes et l’émergence des minorités sexuelles ; la critique du système productiviste et du gigantisme, a abouti à de nouveaux modes de production… Après le tiers-mondisme, le néo-ruralisme, le commerce dit « équitable », le développement dit « durable », l’écologie en tant qu’enjeu politique n’auraient pas vu le jour sans ces remises en cause radicales de la société de consommation.



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